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A LA MEMOIRE DU CAPITAINE MAURICE RESSOT

Prosper Auguste Louis Maurice RESSOT est né le 26 octobre 1889 à PLAUZAT (Puy de Dôme), fils de Guillaume Auguste, notaire au village, et de Marie Mélanie Augustine FAYET, rentière. La famille vint résider aux Poulanges à MONETAY SUR ALLIER.

Après de brillantes études, Maurice RESSOT s'engage comme Cavalier de 2ème classe au 7ème Dragons le 28 octobre 1907. Dans cette unité, il gravit tous les échelons et passe sous-lieutenant le 8 octobre 1914. Il participe à la campagne contre l'ALLEMAGNE du 2 août 1914 au 23 octobre 1919 et sera blessé 2 fois: le 24 septembre 1914 de deux balles à la cuisse droite à COURCELLES le COMTE près d'ARRAS. et le 29 juillet 1918 d'une fracture par balle de l'avant-bras droit aux combats de REIMS dans le bois de Vrigny.

Lieutenant le 27 juin 1916, il est affecté au 79ème Régiment d'Infanterie où il passe Capitaine le 7 juillet 1917.

Le 15 janvier 1920 il est nommé au 6ème Spahis et à disposition du Gouverneur Général de l'ALGERIE; il sera affecté aux Affaires Indigènes et servira dans différents postes des Compagnies Sahariennes à l'ouest de COLOMB BECHAR.

Le capitaine AUGIERAS quitta TABELBALA le 1er décembre 1920, traversa l'IGUIDI et arriva à BOUBOUTE, base avancée de l'expédition. C'est là que le détachement algérien était organisé à l'effectif de cent cinquante-quatre hommes: deux pelotons de la SAOURA (capitaine RESSOT et lieutenant BOUGRAT) , un peloton du TOUAT (lieutenant GIERZYNSKI). La mission quitta BOUBOUTE le 13 décembre, traversa les EGLAB et abreuva à CHENACHANE. A partir de ce point elle entrait en région à peu près inconnue. Les guides se perdirent en allant vers EL KSEIB. Grâce à une observation astronomique le capitaine AUGIERAS pût redresser leur erreur. Le 22 décembre, une patrouille d'éclaireurs arriva à la falaise du HANK ou elle trouva au point d'eau cinq goumiers qui, devançant la colonne mauritanienne du commandant LAUZANNE, s'étaient portés à la rencontre des sahariens. Le lendemain, la reconnaissance reprenait sa marche vers le sud-ouest et le jour de Noël arrivait, exacte au rendez-vous, à EL MZERREB. Le groupe commandant LAUZANNE y était depuis deux jours. La jonction était faite. Les deux colonnes se portèrent ensuite par des itinéraires différents à l'extrémité sud de l'GUIDI sur le puits très important d'AIOUN ABD EL MALEK, qu'elles atteignirent le 28 décembre 1920.

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Chenachane
(Dessin du Capitaine Flye Sainte Marie - 1904)

Du 2 au 23 avril 1921, il prend part à la reconnaissance de la liaison ALGERIE MAURITANIE SOUDAN et doit assurer le commandement et la responsabilité de la Colonne au retour dans un pays hostile et inconnu.

Au printemps 1923, une nouvelle reconnaissance est préparée sous les ordres du capitaine RESSOT, commandant la compagnie de la SAOURA. Elle comprend le groupe mobile de la SAOURA (capitaine LE DIBERDER) et celui du TOUAT (lieutenant PANZANI). Le médecin aide-major TRIPEAU l'accompagne. Elle quitte TABELBALA le 25 mars, passe à BOUBOUTE, TILEMSI EL FASSI et arrive à CHENACHANE le 7 avril. De là, elle gagne CHEGGA, dans le HANK, par SBITA. La région autrefois très fréquentée par les rezzous est absolument déserte; déserts aussi les environs de TOUILA dans le REGBAT et les points d'eau d'AOUINET LEGRA et d'AIN el BARKA. Les ordres du capitaine RESSOT lui interdisant d'aller jusqu'à TINDOUF d'où il n'était qu'à deux petites étapes, il rentre par BOUBOUTE, RHEMILES, terminant à TABELBALA le 12 mai une tournée de mille six cents kilomètres en quarante-neuf jours.
Outre un croquis d'itinéraire: la reconnaissance rapportait des renseignements inédits sur des monuments antéislamiques de la région d'AIN el BARKA (capitaine LE DIBRDER et docteur TRIPEAU) , de notes géologiques (capitaine RESSOT), botaniques et zoologiques (docteur TTRIPEAU).

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Oglet Yacoub dans le Regbat de l'Iguidi
(Dessin du Capitaine F1ye Sainte Marie - 1904)

Mais le 5 novembre, non loin d'OGLOT YACOUB, le groupe PANZANI rencontre inopinément le capitaine RESSOT, commandant la compagnie de la SAOURA, et le peloton du lieutenant BONAFOS qui le cherchent pour effectuer avec lui une reconnaissance et tenter de couper la route du retour à un fort rezzou qui a mis à mal le peloton méhariste de TOMBOUCTOU. Le groupement gagne AOUINET LEGRA, visite pendant plusieurs jours l'immensité du YETTI et va abreuver à AIOUN ABD EL MALEK. Laissant en ce point les animaux fatigués, le capitaine RRSSOT et le lieutenant PANZANI, chacun avec un groupe, parcourent la région absolument inconnue du SOLB. Le groupe PANZANI découvre notamment le grand mejbed des REGUIBAT du ZEMMOUR à AIOUN ABD EL MALEK.

De retour à AIOUN le 7 décembre, la reconnaissance rentre par OGLEY Y YACOUB et EL RHERS ou elle se scinde pour regagner TIMIMOUN et BENI ABBES.

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Entre TABELBALA et BENI ABBES, l'arrière garde du capitaine RESSOT est attaquée à TENIET EL MAIZ (près de FOUM TLAIA) : les quatre hommes qui la composent se sont laissés distancer par le gros et ils sont massacrés par douze Beraber sans que la colonne en ait eu connaissance (6 janvier 1924).

En mars-avril 1924, le peloton du lieutenant PIGEOT (compagnie de la SAOURA) parcourt toute la vallée de la SAOURA : HASSI CHAAMBA, le MAHJEZ, BOU EL ADAM, CHEFAIA, ERG MGHITI, OUDDIKA, ZEGDOU, HASSI SMARA et dresse une carte détaillée de la région parcourue.

A peine rentré à TABELBALA, il repart avec le peloton BONAFOS sous les ordres du capitaine RESSOT. Le groupement traverse la DAOURA et, dans la difficile région du KEM-KEM. une patrouille commandée par le maréchal-des-logis de BONNAULT est accueillie à coups de fusil par des campements Beraber. Une importante razzia est faite sur les troupeaux de ces dissidents (un mort dans chaque camp). Puis les pelotons se séparent, celui du lieutenant PIGEOT rentrant à TABELBALA avec le capitaine commandant. Un mois après cette tournée de police, les Aït Allouane demandaient l'aman.

En juin 1924, avec sa compagnie Méhariste, il participe à une longue et pénible randonnée à la poursuite de pillards ayant opéré au SOUDAN.

A la tête de la compagnie de la SAOURA, depuis 1923, le capitaine RESSOT préconise d'établir à l'ouest la base avancée des opérations contre les rezzous. Il recommande une installation à CHEGGA, à EL KSEIB ou mieux encore à TINDOUF d'où il serait possible de surveiller d'une manière effective tout le bloc REGUIBAT, AIT OUSSA, BERABER.
A la conférence de MARRAKECH du 16 janvier 1925, les autorités marocaines et mauritaniennes demandaient l'intervention immédiate des méharistes algériens dans la région de TINDOUF. En effet, il se confirmait qu'un gros rezzou REGUIBAT était en formation dans la SEGUIET EL HAMRA ayant la MAURITANIE pour objectif. Une colonne est donc formée sous les ordres du capitaine RESSOT avec trois pelotons de la SAOURA [lieutenants PIGEOT, de LABARRIERE et BROSSET, ce dernier stagiare de l'infanterie coloniale]. Lui sont adjoints le médecin aide-major Le CARBONT et le géologue MENCHIKOFF, chargé de mission.

Pour protéger les arrières de la reconnaissance, un peloton du TOUAT et un goum commandés par le lieutenant de SEZE s'établissent dans la région de TABELBALA. Le groupement RESSOT fort de cent cinquante hommes quitte HASSI AZRAR, près de TABELBALA, le 7 avril 1925. Le 14, il atteint TINFOUCHY, dernier point connu dans la direction de TINDOUF. Les lieutenants PIGEOT et BROSSET sont chargés de lever l'itinéraire parcouru dans cette région nouvelle. Le 16, le groupement reconnaît l'erg et le puits de ZEMOUL ; le 20, mettant cap au sud, il franchit par un col difficile le DJEBEL OUARKZIZ et parvient le 23 dans l'Oued el MA à une journée de marche de TINDOUF. Le 25 avril 1925 dans la matinée, il entre dans la petite oasis créée soixante-dix ans auparavant par les TADJAKANT et, depuis, presque abandonnée pour cause d'insécurité. Dans le village, une quinzaine de familles TADJAKANT ; la plupart des hommes sont en caravane vers TOMBOUCTOU. Deux seulement sont présents qui donnent d'importants renseignements sur les campements des Reguibat Lgouacem au sud de la DAIET EL KHADRA.

Une expédition sur ces campements est immédiatement organisée; le 27 avril, avec le fils du caïd de TINDOUF comme guide, la colonne RESSOT se dirige vers LA DAIET EL KHADRA ou elle arrive le 29. Là elle laisse sous les ordres du maréchal-des-logis de BONNAULT les méharistes dont les chameaux sont fatigués et pousse avec une centaine d'hommes bien montés vers le sud-ouest en direction d'OUM EL GUETA où des campements Foqra sont signalés. Le 30 avril, tout le détachement largement articulé surprend d'importants troupeaux. Les Reguibat au nombre d'une trentaine, après un court combat, bondissent sur leurs montures et s'enfuient. Après une poursuite au grand trot, un troupeau d'environ quatre cents chameaux est capturé. Le lieutenant PIGEOT poursuit deux heures encore les fuyards qui finalement se dispersent. Sa pointe permet au reste de la colonne de se regrouper et de prendre ses dispositions pour parer à une contre-attaque éventuelle des Foqra. Alourdie par ses prises, la colonne reprend la route de TABELBALA par EL BECHERA, le plateau du DRA. Le 16 mai, elle atteint la DAOURA et arrive à TABELBALA dans la matinée du 19 mai après avoir parcouru plus de mille six cents kilomètres en quarante-trois jours, sans compter les parcours de BENI ABBES à TABELBALA et les tournées au nord de l'Erg ER RAOUI avant la reconnaissance. Peu après, on apprenait de source sûre que le raid de la compagnie de la SAOURA avait étouffé dans l'œuf la formation d'un gros rezzou qui devait opérer en MAURITANIE.

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Croquis schématique réalisé par le Lt PIGEOT

Après avoir effectué une tournée de police dans la DAOURA, la compagnie de la SAOURA exécute une nouvelle reconnaissance vers TINDOUF. Le capitaine RESSOT dispose des pelotons PIGEOT et MEDARD et d'un peloton du TOUAT ( lieutenant LANIBOIS). La reconnaissance, accompagnée du docteur ESTIVAL et du géologue MENCHIKOFF, part le 21 février 1928 de TABELBALA à l'effectif de cent cinquante hommes. Elle passe par RHEMILES, MOUET el FEHED, AOUINET LEGRA. De là, conduite à la boussole par le lieutenant PIGEOT, elle découvre le puits de BOU GARFA et atteint TINDOUF. La mission du capitaine RESSOT est d'exercer des représailles contre la fraction Reguibat des FOQRA mais ceux-ci sont loin dans le ZEMMOUR. De plus, ils sont mêlés aux campements des BRAHIM ou DAOUD alors en pourparlers suivis avec les autorités françaises de MAURITANIE. Toute tentative contre les uns eût fatalement entraîné une action contre les autres, action qu'il était recommandé d'éviter.

Au retour, la reconnaissance passe au sud de l'itinéraire de 1925. Longeant la bordure méridionale du Haut Plateau du DRA, elle découvre successivement les puits d'ICHAF, d'OUM EL ASSEL et de MOUILA. A ce dernier point d'eau, l'avant-garde essuie quelques coups de feu. Mais ce sont des campements AIT OUSSA soumis qui, reconnaissant leur méprise, viennent faire amende honorable. Le groupement reprend ensuite sa route par TINFOUCHY et HASSI CHAAMBA. Il rentre à TABELBALA le 8 avril avec d'importants levés d'itinéraires dus au lieutenant PIGEOT.

Au mois de décembre, le capitaine RESSOT effectue avec la compagnie de la SAOURA ( lieutenants PREA et TERRASSON) la première reconnaissance en liaison avec les automobiles. Pour la première fois aussi, le groupe mobile est doté d'un poste de radio émetteur-récepteur porté à chameau. Partie d'HASSI CHAAMBA, le 10 décembre la reconnaissance poussait jusqu'à TINJOUB et TINFOUCHY sur le plateau du DRA.

Le capitaine RESSOT prenait contact avec des campements dissidents qui, après un petit baroud d'honneur, faisaient leur soumission. Quant aux AIT KHEBBACHE et aux MOUAGGI, réfractaires à tout rapprochement, ils s'enfuyaient précipitamment de MENGOUB à l'annonce de l'arrivée des sahariens.

Deux forts ont été construits à TABELBALA dont le premier, construit à l'initiative du Capitaine RESSOT, pour abriter la Compagnie Saharienne de la SAOURA: bordj RESSOT TABELBALA.

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Le 22 février 1931, la compagnie de la SAOURA sous les ordres du capitaine RESSOT quitte la région de TABELBALA articulée en trois pelotons ( lieutenants PREA, TERRASSON, RONDET) pour prendre part aux opérations dans la région de TAOUZ et du MAIDER, au sud du TAFILALET. Le 19 mars, après une marche forcée, la compagnie prend contact avec un important campement de Beraber IRJEDAN dissidents. Ceux-ci doivent de n'être pas anéantis à la généreuse offre d'aman qui leur est faite et nous enlève le bénéfice de la surprise. Les dissidents répondant aux avances par des coups de fusil, le combat s'engage. Après une énergique défense, les Beraber doivent abandonner leurs campements et laissent entre nos mains plusieurs morts, des prisonniers et des armes.

Un gros rezzou AIT KHEBBACH de plusieurs centaines de fusils ayant opéré dans le MAHJEZ (Basse DAOURA) , le capitaine RESSOT se lance à sa poursuite. Dans la nuit du 18 ou 19 octobre, les trois pelotons ( lieutenants PREA et RAULT, maréchal-des-logis BORGEAUD) se rassemblent à HASSI AZRAR. Le 20, ils parviennent au MAHJEZ au campement pillé. Le djich qui a fait de grosses prises a vingt-six heures d'avance. Les traces se dirigent sur CHEFAIA, remontant la rive droite de la SAOURA. Le 21, l'aviation alertée bombarde le djich pendant que le peloton BORGEAUD ratisse la vallée de l'oued jusqu'au delà du puits d'OUDIKA, échangeant quelques coups de feu avec des chouf détachés en arrière du djich.

A 16 heures 15, après une poursuite ininterrompue de trente,six heures, l'avant-garde se heurte au gros de l'ennemi qui a pris ses dispositions de combat. Le lieutenant PREA a pour mission de soutenir l'avant-garde, le lieutenant RAULT celle de protéger les montures. Les Beraber qui ont eu le temps de s'installer offrent le combat dans un terrain qui leur est extrêmement favorable. Bientôt les animaux haut le pied sont pris sous le feu. Par une manœuvre, le lieutenant PREA brise la tentative d'encerclement des chameaux que le lieutenant RAULT peut ainsi mettre à l'abri. Les AIT KHEBBACH qui ont l'avantage du nombre contre-attaquent le peloton PREA; celui-ci s'accroche au terrain et stoppe l'ennemi lui infligeant de lourdes pertes.

Le capitaine RESSOT ne donne qu'à la nuit l'ordre de décrochage. Le mouvement se fait très lentement car il faut ramener les blessés sous le feu des Beraber qui continuent à tirer à la faveur du clair de lune. Le peloton PREA décroche le dernier à 22 heures. Ils ont quatre tués et sept blessés dont le lieutenant PREA; le djich qui avait subi des pertes sérieuses n'avait pu être anéanti.

Le 22 à 7 heures le commandant militaire du territoire prescrivait au capitaine RESSOT de regagner TABELBALA avec sa compagnie.

En mars 1932, le capitaine Ressot qui commandait la SAOURA depuis neuf ans avait été affecté à l'État-major du 19° Corps, puis à l'État-major du Groupe des Unités sahariennes de l'ouest.

Le 5 août 1933, au cours des combats avec les dissidents marocains dans la région d'AIN-SEFFRA, il est tué à KERDOUTAN au MAROC ( Défunt Le Colonel Robert BESSON, de MONTOLDRE, ancien Officier des Troupes Coloniales Marocaines puis à la Légion Étrangère, membre du Comité Départemental du Souvenir Français, nous avait dit connaître le lieu qui portait du temps du Protectorat, le nom d'Oued RESSOT).

Le Capitaine RESSOT faisait l'objet de 7 citations à l'Ordre de l'Armée pour Actions d'Éclats

Il était titulaire des décorations suivantes:

    Médaille militaire
    Croix de guerre 1914-1918
    Chevalier de la Légion d'Honneur
    Officier de la Légion d'Honneur
    Croix de Guerre des T.O.E (Théâtres d'Opérations Extérieurs)
    Officier de l'Étoile Noire du BENIN
    Officier du NICHAN IFTIKHAR
    Chevalier du Mérite Civil et Militaire d'Adolphe NASSAU
    Chevalier du Ouissam Alaouite

Le Capitaine RESSOT repose dans l'angle sud-ouest du cimetière de MONETAY aux cotés de sa mère. La tornade de 1999 a détruit la stèle et la haute croix qui la surmontait. Nayant plus aucun signe d'identification, le Souvenir Français y a déposé une plaque en 2006.

Après les obsèques, dans le Bulletin Paroissial de MONETAY (N°143 de Novembre 1933), le curé Emile CLEAU écrivait: Au jour de ses funérailles, une voix autorisée de la commune disait à l'un des membres de la famille: "Nous sommes fiers d'avoir parmi nous les restes d'un héros". Ce n'était pas trop dire; jugez-en vous même par ses citations, elles serviront à glorifier notre héros qui, durant sa vie, ne les fit même point connaître à ceux de sa chère famille.

Cette famille a laissé des biens à MONETAY.

Son grand-père Jean-Louis RESSOT, a été Maire de MONETAY du 15 mai 1892 au 25 Août 1897.

Sa tante Marguerite RESSOT, épouse ISNARD (1866-1956), personnage qui a marqué son époque.

Sa soeur, Jeanne Marie-Thérese décédée le 6 janvier 1984 était l'épouse de Gabriel BOUVIER de LAMOTTE, Maire de MONETAY du 8 mai 1953 au 14 juillet 1955, date de son décès.

Sa nièce, Marie-Joseph de LAMOTTE épouse du Préfet GUERIN.

Sa fille, Marie Marguerite RESSOT,née le 20 octobre 1929 à Tabelbala, a été élevée par sa grand-mère aux Poulanges (voir photo scolaire 1942-43). Elle épousa Jacques Louis Leclercq le 21 octobre 1949 à MONETAY, d'où descendance.

Source:
Référence Dossier Cote 6Y 27093 en Service Historique de la Défense à VINCENNES.
Paul BURLAUD responsable du Souvenir Français à MONETAY.
Le Sahara et limafoxromeo
http://sitelimafox.free.fr/HistoCM/HSTDM.htm
Témoignages inédits sur l'Histoire Par Christian de Gastines.
http://saharayro.free.fr/bordjs/fortso02.htm



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